Gagnant au PMU : Pronostic turf tierce, quinte et jeux sportifs

Articles sur les courses hippiques

28/02/2019

La patience vient à bout de tout

J'aurai pu choisir une autre citation, mais celle-ci me plaît bien et colle vraiment à me façon de penser.

Idéalement, un pari qu'il soit hippique ou sportif, on mise, on gagne, on encaisse, le fait d'avoir gagné de l'argent en quelques minutes, c'est idéal et moi aussi j'apprécie.

Mais il faut surtout faire preuve de patience quand on applique une méthode, la logique de l'écart fait parti du jeu et permet de gagner.

L'erreur commise par beaucoup de turfistes, c'est l'impatience.

Je parle surtout des méthodes où il faut toujours jouer les mêmes combinaisons, que ce soient des favoris, des numéros, des numéros de corde..... Pour les joueurs qui misent sur des chevaux différents tous les jours sans logique de récurrence, au feeling ou en faisant le papier, c'est différent.

Quand vous décidez de commencer une méthode pour avoir des gains réccurents, il faut accepter de perdre, c'est dans la logique du jeu, personne ne gagne à tous les coups, à moins de jouer tous les partants!


Arrêter au bout de quelques pertes n'est pas normal, et vous perdez votre argent, il vaut mieux respecter certaines règles avant de se lancer :

  • Déterminer son objectif de gains et choisir le ou les opérateurs pour faire ses paris
  • Disposer du capital nécessaire en prévoyant les pertes mais en incluant les gains d'une couverture de jeu (recommandé) ou les bonus afin de minimiser les pertes pour certains paris ordre
  • Essayer de prévoir les écarts

Sur ce dernier point, ce n'est pas évident, forcémment mais pas impossible, on peut regarder l'écart maximum entre 2 gains mais il faut s'en méfier.


Un exemple:

J'ai trouvé une méthode (2 méthodes combinées) avec 83% de réussite et un écart MAX de 3, idéal, mais par expérience les écarts MAX sont faits pour être cassés donc attention.

Cela vous donne une indication au niveau de l'impatience, si on n'arrive pas à supporter financièrement ou psychologiquement un écart MAX de 5 ou 6, il faudra un taux de réussite proche des 70%

La patience est souvent récompensée, quand vous avez un écart important qui est enfin brisé, votre cadeau c'est souvent plusieurs gains de suite ou très proches.

Je voulais vous parler de ce sujet car beaucoup de parieurs abandonnent quand ils n'ont pas gagné dans les 3 1ers paris, en pensant que c'est très compliqué mais c'est possible puisque je l'ai déjà fait.

Je suis plutôt fan des méthodes récurrentes, et mes différentes analyses et statistiques vont dans ce sens, ça fonctionne bien, vous aurez l'occasion de voir des exemples dans les jours et semaines à venir.



 


 

28/02/2019

Parier sur les favoris ou les tocards?

Choisir une stratégie de paris sur le long terme n’est jamais évident pour un joueur, avec 2 écoles complètement opposées et des résultats forcément différents.

Le choix des gains récurrents

Quand la priorité est de passer régulièrement à la caisse, ce sont les favoris qui seront prioritaires, leur présence à l’arrivée est plus logique et récurrente. Par contre, le revers de la médaille est un faible niveau de gains, quelque soit le type de pari. La majorité des parieurs mettent les favoris sur leurs tickets donc la proportion de paris gagnants est très élevée.

La discipline reine est le trot attelé où les arrivées sans favoris sont très rares, en plat et en obstacles, c’est souvent un mix de favoris, outsiders et tocards ce qui rend la tâche des joueurs plus compliquée.

Le meilleur moyen d’être bénéficiaire pour cette stratégie est de privilégier les paris ordre, comme le couplé ordre et le tiercé où il peut suffire de trouver le gagnant pour toucher le rapport ordre. Le couplé gagnant est aussi une bonne alternative et il n’est pas nécessaire de prendre beaucoup de risques en trot attelé.

Il existe un obstacle de taille qui peut vous empêcher de toucher des gains régulièrement même en jouant les favoris, c’est l’écart. Le 1er favori peut rester sans victoire pendant plus de 20 courses de Quinté!

Attention aux stratégies, même avec les favoris vous pouvez perdre beaucoup d’argent, et vous aurez du mal à vous rattraper.

Des gros rapports ou rien

C’est le risque qui paie, voilà la philosophie des joueurs de tocards. Il faut être patient et disposer d’un capital important, car ils ne sont pas dans la majorité des arrivées. La discipline qui offre les meilleurs rapports est le trot attelé, les favoris étant présents sur la majorité des tickets, lors d’une arrivée surprise, il ne reste que très peu de mises gagnantes.

En plat et en obstacles, il est rare qu’il n’y est pas un ou deux tocards à l’arrivée et les parieurs prennent plus de risques dans leurs paris.

L’avantage de cette stratégie est qu’un gros rapport permet de financer les prochains paris. La notion d’écart est encore plus élastique donc plus dangereuse, il faut avoir les nerfs solides! Il s’agit d’un pari contre la logique sportive c’est à dire que les moins bons ou les moins en forme obtiennent des résultats. Mais en cas de gains dans l’ordre, c’est jackpot garanti.

 

C’est l’état d’esprit du joueur qui va l’orienter vers une de ces deux stratégies qui n’ont pas le même niveau de risque.



25/02/2019

Jouer sans les 3 1ers favoris, est-ce bien raisonnable?

J’ai repensé à ce sujet ce matin, puisqu’il arrive qu’il y ait des séries d’arrivées sans les 3 1ers favoris, mais dans quelle mesure?

 

Statistiques pour le Quarté

 

Je me suis replongé dans mes archives et j’ai retrouvé des stats que j’ai fait il y a quelques années – surtout en plat mais aussi à Vincennes et à Auteuil – sur la présence des 3 1ers favoris à l’arrivée du Quarté (pari ordre que je préfère, j’explique pour quelles raisons dans mon ebook ‘L’indispensable du trot’).

La raison principale était de connaître leur importance en compagnie des tocards et outsiders pour cibler les combinaisons qui avaient le meilleur taux de réussite, un exemple sera + clair :

1 – 1 – 2 = arrivée avec 1 favori – 1 outsider – 2 tocards

Il existe 16 combinaisons et le but est d’éliminer les combinaisons qui ont un taux de réussite nul ou trop bas et de privilégier les combinaisons qui sortent le + souvent.
Je ne vous donnerai pas toutes les conclusions de cette analyse, c’est prévu d’en faire le sujet d’un ebook, mais cela m’a permis de connaître le taux de réussite des 3 1ers favoris.

D’après vous, en plat, discipline la + spéculative, 50%, 65%, 70%, 80%, 85% ?

80% minimum!

En plat, au moins 1 des 3 1ers favoris est à l’arrivée du Quarté dans + de 80% des cas
Deauville, Chantilly, Saint-Cloud, Maisons-Laffitte, Cagnes sur Mer, les résultats sont quasiment identiques, entre 80 et 84%.

J’ai vérifié sur 1 an (Août 2017 à maintenant) avec ma synthèse des favoris perso pour avoir une confirmation :

80,77%

20% d’arrivées du Quarté en plat sans les 3 1ers favoris, c’est peu pour établir une stratégie et surtout dangereux.
Par contre pour les personnes qui ont beaucoup de capital, ils savent comment faire pour gagner 8 fois sur 10.

Concernant Auteuil, c’est mini 88% (quand même) et Vincennes mini 92%.

En espérant que ces informations vous seront utiles pour vos prochains paris.

Mon ebook Les combinaisons interdites dans la course du Quinté est disponible.




22/02/2019
 

Comment jouer les handicaps de plat de 3 ans dans la course du Quinté


C’est en voyant le Quinté d’aujourd’hui, que je me suis posé la question et je me suis souvenu d’arrivées incompréhensibles, composées uniquement de favoris ou majoritairement de tocards.

Je n’ai pas encore fait de statistiques sur ces courses jusqu’à maintenant.

Ce sont des courses très difficiles à analyser pour plusieurs raisons :

  • L’inexpérience des chevaux, qui débutent leur carrière
  • Les limites inconnues des concurrents
  • L’adaptation à l’état du terrain ou à la surface
  • La réaction du cheval à un peloton fourni, certains n’ont jamais couru avec + de 10 chevaux
  • L’entente avec le jockey

J’aurai pu en citer d’autres, mais en résumé, même les entraîneurs peuvent être dans le flou, manquant de recul et de certitudes.
Les parieurs ont logiquement du mal à s’y retrouver aussi.

Il faut quand même se raccrocher à quelque chose pour faire son ticket, que faut-il privilégier ?

La musique, donc la forme, c’est un bon critère même si des chevaux tardifs peuvent se révéler d’un coup.

L’expérience, très important à mes yeux, un cheval qui a déjà participé à des Quintés, au sein de pelotons ‘touffus’, c’est un avantage, il aura moins d’appréhensions.

La place à la corde, en règle générale, les petits numéros de corde sont avantagés, avec un meilleur taux de réussite.

La distance, un cheval qui est performant sur une distance est à privilégier, mais c’est comme pour la musique, un concurrent qui n’a jamais couru une distance peut très bien briller dès le 1er essai.

L’entraîneur, certains professionnels ont de meilleurs résultats avec une génération en particulier (jeune, + expérimentée….).

 

Vous pouvez donc vous fiez à certains de ces critères mais il est fort probable qu’1 ou 2 chevaux finissent dans les 5 sortant de nulle part.

Vous pouvez procéder par élimination, en rayant des favoris ou des combinaisons de façon automatique comme je l’explique dans mon ebook ‘Les combinaisons interdites dans la course du Quinté’ c’est une autre façon de procéder.

Pour les rapports, tout peut arriver, mais je pencherai plutôt du côté spéculatif, si je fais une analyse, je vous tiendrai au courant.

Je plains ceux qui ont un papier à faire quand il n’y a pas vraiment de favori au niveau des côtes, un vrai casse-tête (c’est du vécu, mais c’est du passé).



14/02/2019


La multiplication des sites de paris, un bien ou un mal?

Faire le bon choix pour gagner + d’argent

L’offre de paris hippiques en France n’est plus l’exclusivité du PMU depuis + de 10 ans et les parieurs ont dû modifier leurs habitudes et changer leur façon de parier, alors, avant c’était mieux?

Des bonus à la pelle

Pour attirer le client, les offres de bienvenue sont monnaie courante et c’est bien normal. 100€, 250€, paris remboursés si perdant, etc…….

Très attractif mais il faut bien lire les conditions, par exemple, le bonus peut vous être versé en 3 ou 4 fois (réception de votre pièce d’identité par mail, envoi du code d’activation par courrier et et saisie de ce dernier sur votre espace personnel…..), cela peut être traité rapidement ou non. Cela m’est arrivé avec un nouvel opérateur – qui a disparu depuis – le versement de la totalité des bonus a pris 2 semaines malgré mes relances et comme je ne pouvais pas retirer mes gains, j’ai eu le temps de tout perdre!

La 1er conseil est d’éplucher les conditions de versement des bonus, vous pourriez avoir de mauvaises surprises dans le cas contraire.

Une offre de paris qui vous intéresse

C’est primordial de savoir si les paris proposés vous conviennent et ils ne se ressemblent pas tous, comme on pourrait le penser.

Simple placé, gagnant, couplé placé, gagnant, trio, top 4, top 5, 2 sur 4 et pour les paris ordre : couplé, trio voir top 4 pour les courses jusqu’à 11 partants (nouveauté). Si vous jouez au trio ordre, vérifiez que c’est un pari disponible, mais le + important est ailleurs.

L’argument flexi est l’angle d’attaque des opérateurs face au PMU, c’est à dire la possibilité de jouer à partir de 0,10€ tant que votre mise totale est au minimum de 1€. C’est la révolution dans le monde des paris, mais tous les opérateurs ne le font pas ou de manière différente (0,50€ minimum par exemple) et pas sur tous les paris, une vérification s’impose au préalable.

Le 2ème point est la manière de parier : avec des mises rondes ou avec la possibilité de jouer des centimes, c’est très important dans la gestion de votre capital. Plusieurs opérateurs vous obligent à parier des sommes entières (1€, 2€, 10€……), au contraire d’autres où vous pouvez miser 1,30€ par exemple et cela change tout au niveau de votre stratégie de jeu. Pour ma part, c’est un aspect prioritaire, surtout quand on suit une méthode à la lettre ou quand on doit suivre une montante.

Gains et chutes de côtes

C’est pour moi le point noir des nouveaux opérateurs même si c’est, en règle générale, logique. C’est la mise totale des parieurs qui détermine les côtes et le nombre de gagnants qui détermine les gains.

Il arrive fréquemment, sur des courses en manque de parieurs que les côtes s’effondrent à cause d’une grosse mise ou que les gains soient très faibles  (peu de mises engagées, trop de gagnants et peu de mises engagées).

Cela m’est arrivé avec Genybet à leur début, sur une course de Quinté +, j’ai joué un cheval en montante en simple gagnant, sa côte a perdu 5€ dans la dernière minute! Il a gagné mais je n’était plus bénéficiaire, mon mail de parieur dégoûté n’a rien changé et leur réponse était logique. Il existe des moyens pour éviter des mésaventures, heureusement!

Aucun système n’est parfait, même notre ami le PMU, le côté positif de la concurrence est que l’on peut utiliser un opérateur uniquement pour un type de pari par exemple, car il dispose d’avantages que les autres n’ont pas, c’est une technique que j’utilise régulièrement. La base c’est de bien analyser l’offre de paris avant de vous engager, après c’est trop tard.


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